dizziness

tu n'y comprendra sans doute rien mais ce n'est pas très important

Vendredi 17 décembre 2010 à 14:06

La ville enneigée c'est magnifique...
comme à notre habitude, on fait les cons dans la neige, on glisse, on rit...

Soudain, une énorme ombre assombri le ciel. Je n'ai pas le temps de comprendre ce que cela peut etre qu'on me tire violemment par le bra pour me mettre à l'abris puis j'entend un bruit des plus affreux. La terre semble trembler autour de moi, je ne comprend pas ce qu'il se passe.

Je me retrouve dans un énorme engare, remplis de monde... il semblerais que ce soit nous qui les ayons entrainer ici, à l'abris. Je regarde dehors, un paysage cahotique, plus un arbre, plus une trace de vie... mais la neige, toujours aussi belle et présente.

Je comprend alors ce qu'il se passe. Mais je semble être la seule. Soudain j'apperçois un visage familier.
"ou est il?"

" suis moi ! Ne t'en fais pas, il va bien"

Je le vois, assis sur un canapé de fortune, l'air choqué. Il lève la tête et, me voyant arrivée, me sautte au cou.
"tu nas rien? je t'ai perdu dans la foule excuses moi!"

"non ça va."

Nous sommes 4 dans la cuisine... nous préparons à manger pour tout le monde avec des boites trouvées dans l'immense cave.
Avec moi sont mes deux amis les plus chers au monde et une personne que je ne connais pas.

Une pensée affreuse me traverse l'esprit. Je saisi un téléphone (bizarrement toutes les lignes ne sont pas coupée) puis je compose le numéro de ma mère :

"allo? maman?
- oui? (sa voix semble étonnemment calme)
- tu... tu vas bien?
- oui oui, ne t'en fais pas... tu es à l'abris il mesemble?
- oui... t'es à la maison?
- oui... ta soeur et son père ne sont pas la par contre.
- tu es seule?! (rien que cette idée me faisait monter les larmes aux yeux.. j'avais l'image de ma mère prisonnière dans sa maison comme un rat de laboratoire, seule, coupée de tout n'attendant qu'une chose..)
- oui.. mais...a..v..ller...
- Comment? (l'appareil commençait à grésiller)
- prend...ion..toi...
- maman? MAMAN?

Je pleurais.. et j'avais peur car je venais de me rendre compte que quoi que l'ont fasse, nous étions tous condamnés...

J'entrais dans la grande salle et j'appercevais le visage de certains de mes amis... ou connaissances. Tout le monde était calme.. nous savions tous ce qui nous attendais...

Je rejoignis mes deux amis les plus cher dans cette cuisine et les pris dans mes bras. Je ne voulais plus en sortir.


*encore ne fois un rêve qui m'a pris aux trippes*

Par Mary pas de bol le Vendredi 17 décembre 2010 à 14:23
Apres ca, on se leve, on fume une clope et on y pense toute la journee... jte comprend, je revis souvent mon viol en cauchemard, avec de petits details en plus (torture, sadisme...)
 

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