dizziness

tu n'y comprendra sans doute rien mais ce n'est pas très important

Mercredi 15 décembre 2010 à 15:21

Ils me jetèrent alors à terre... ces trois hommes de carrures imposantes riaient à s'en égosiller.
L'un d'entre eux, le plus mastoc s'approcha de moi, tira mes cheveux violemment en arrière afin de relever ma tête et me murmurra à l'oreil :
"j'espère que ça te plait!"
relacha son étreinte d'un geste brusque.

j'avais froid, nous devions être en hiver. Je voyais des petits points blancs voleter devant mes yeux mais je n'aurais su dire si il s'agissait de flocons de neige ou du signe avant coureur de la perte de conscience..
Je tentais de me relever mais je senti très vite un violente douleur au niveau des côtes : ils étaient toujours à coté de moi et le moins imposat des trois venait de me  donner un coup de pied ans les flancs.

"Tu ne bouges pas!"

J'avais mal, j'avais peur mais je refusais de montrer quoi que ce soit. Je tentaisà chaque fois que cela m'tait possible de m'enfuire.. mais j'essuyais très vite les coups de pieds, de poing de mes agresseurs..

Bientot, mes forces m'abandonnèrent. Je ne pouvais plus que me trainer tel une vulgaire limace sur le sol. Ils continuèrent de me ruer de coups : sur les flancs, le dos, le ventre, les jambes, le visage. Parfois j'entendais des "cracks" suivient de violentes douleurs. plus qu'une seule chose m'importait à présent : qu'il en finissent.

Le troisième homme que je ne pu que entendre cria d'une voix forte :

"vous vous êtes assez amusé. à son tour... achève la!"

J'entendis le bruit sourd d'une grosse chaine tomber sur le sol. Puis une énorme ombre noir apparut à mes cotés. Je pu appercevoir le visage très doux d'un jeune homme. Il me souriait et je cru devniner deux grosses canines pointues. Mais je pensais que ce devait juste être mon esprit brouillé par la douleur qui me jouait des tours.

Il n'en était rien.. le jeune homme me mis le plus délicatement possible sur le dos, retira les cheveux qui encombraient mes cheveux et mon cou, se pencha vers ce dernier.
"c'est ce qu'il y a de mieux pour toi, je ferrais en sorte que ça passe vite"

Il laissa sa langue parcourir mon cou du haut vers le bas puis une douleur aigüe me fit trouner la tête.
Je laissa échapper un petit cri. Au bout de quelques secondes à peine de souffrance intense, je sentis la vie me quitter petit à petit...

Il avait sans doute raison, c'était mieux ainsi



*je n'écris pas forcément bien mais ce texte vien d'un de mes rêves. je me devais de l'écrir.. qu'il quitte mon esprit*



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Par mary pas de bol le Vendredi 17 décembre 2010 à 15:34
ton texte chouette et bien ecrit, il me met quand mm mal a laise par rapport a mon vecut

bisous ma belle
 

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